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Album - Gonbad-e Kâvus : une tour funéraire du XIe siècle

Construite un 1007 pour un souverain d'une dynastie locale, cette tour funéraire en briques au plan en étoile, seulement décorée de quelques calligraphies, est l'une des architectures les plus remarquables d'Iran. Photographies : P. Ringgenberg
Construite un 1007 pour un souverain d'une dynastie locale, cette tour funéraire en briques au plan en étoile, seulement décorée de quelques calligraphies, est l'une des architectures les plus remarquables d'Iran. Photographies : P. Ringgenberg
Construite un 1007 pour un souverain d'une dynastie locale, cette tour funéraire en briques au plan en étoile, seulement décorée de quelques calligraphies, est l'une des architectures les plus remarquables d'Iran. Photographies : P. Ringgenberg
Construite un 1007 pour un souverain d'une dynastie locale, cette tour funéraire en briques au plan en étoile, seulement décorée de quelques calligraphies, est l'une des architectures les plus remarquables d'Iran. Photographies : P. Ringgenberg

Construite un 1007 pour un souverain d'une dynastie locale, cette tour funéraire en briques au plan en étoile, seulement décorée de quelques calligraphies, est l'une des architectures les plus remarquables d'Iran. Photographies : P. Ringgenberg

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Album - Trésor de l'Oxus : oeuvres d'époque achéménide au British Museum

Découvert en Asie centrale, le Trésor de l’Oxus est la plus importante collection d’objets achéménides, datés du Ve-IVe siècle avant J.-C. Source des photographies : British Museum (droits réservés).
Découvert en Asie centrale, le Trésor de l’Oxus est la plus importante collection d’objets achéménides, datés du Ve-IVe siècle avant J.-C. Source des photographies : British Museum (droits réservés).
Découvert en Asie centrale, le Trésor de l’Oxus est la plus importante collection d’objets achéménides, datés du Ve-IVe siècle avant J.-C. Source des photographies : British Museum (droits réservés).
Découvert en Asie centrale, le Trésor de l’Oxus est la plus importante collection d’objets achéménides, datés du Ve-IVe siècle avant J.-C. Source des photographies : British Museum (droits réservés).
Découvert en Asie centrale, le Trésor de l’Oxus est la plus importante collection d’objets achéménides, datés du Ve-IVe siècle avant J.-C. Source des photographies : British Museum (droits réservés).
Découvert en Asie centrale, le Trésor de l’Oxus est la plus importante collection d’objets achéménides, datés du Ve-IVe siècle avant J.-C. Source des photographies : British Museum (droits réservés).
Découvert en Asie centrale, le Trésor de l’Oxus est la plus importante collection d’objets achéménides, datés du Ve-IVe siècle avant J.-C. Source des photographies : British Museum (droits réservés).
Découvert en Asie centrale, le Trésor de l’Oxus est la plus importante collection d’objets achéménides, datés du Ve-IVe siècle avant J.-C. Source des photographies : British Museum (droits réservés).
Découvert en Asie centrale, le Trésor de l’Oxus est la plus importante collection d’objets achéménides, datés du Ve-IVe siècle avant J.-C. Source des photographies : British Museum (droits réservés).

Découvert en Asie centrale, le Trésor de l’Oxus est la plus importante collection d’objets achéménides, datés du Ve-IVe siècle avant J.-C. Source des photographies : British Museum (droits réservés).

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Album - Abarkuh (province de Yazd) : la maison Aqâzâdeh (époque qâdjâre)

Occupant deux ensembles de cours et de pièces d’habitation, cette splendide maison traditionnelle est dotée de plusieurs tours d’aération (bâdgir), diffusant de l’air frais dans les iwans et dans les pièces. Photographies : P. Ringgenberg.
Occupant deux ensembles de cours et de pièces d’habitation, cette splendide maison traditionnelle est dotée de plusieurs tours d’aération (bâdgir), diffusant de l’air frais dans les iwans et dans les pièces. Photographies : P. Ringgenberg.
Occupant deux ensembles de cours et de pièces d’habitation, cette splendide maison traditionnelle est dotée de plusieurs tours d’aération (bâdgir), diffusant de l’air frais dans les iwans et dans les pièces. Photographies : P. Ringgenberg.
Occupant deux ensembles de cours et de pièces d’habitation, cette splendide maison traditionnelle est dotée de plusieurs tours d’aération (bâdgir), diffusant de l’air frais dans les iwans et dans les pièces. Photographies : P. Ringgenberg.
Occupant deux ensembles de cours et de pièces d’habitation, cette splendide maison traditionnelle est dotée de plusieurs tours d’aération (bâdgir), diffusant de l’air frais dans les iwans et dans les pièces. Photographies : P. Ringgenberg.
Occupant deux ensembles de cours et de pièces d’habitation, cette splendide maison traditionnelle est dotée de plusieurs tours d’aération (bâdgir), diffusant de l’air frais dans les iwans et dans les pièces. Photographies : P. Ringgenberg.
Occupant deux ensembles de cours et de pièces d’habitation, cette splendide maison traditionnelle est dotée de plusieurs tours d’aération (bâdgir), diffusant de l’air frais dans les iwans et dans les pièces. Photographies : P. Ringgenberg.
Occupant deux ensembles de cours et de pièces d’habitation, cette splendide maison traditionnelle est dotée de plusieurs tours d’aération (bâdgir), diffusant de l’air frais dans les iwans et dans les pièces. Photographies : P. Ringgenberg.

Occupant deux ensembles de cours et de pièces d’habitation, cette splendide maison traditionnelle est dotée de plusieurs tours d’aération (bâdgir), diffusant de l’air frais dans les iwans et dans les pièces. Photographies : P. Ringgenberg.

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Album - Djulfa : le monastère arménien de Saint Stephanos

Isolé dans une nature majestueuse au nord de l'Azerbaidjan oriental, ce monastère, fondé au Xe siècle, est l'un des plus beaux d'Iran. Les édifices actuels datent des XVIe-XIXe siècles. Photographies : Patrick Ringgenberg.
Isolé dans une nature majestueuse au nord de l'Azerbaidjan oriental, ce monastère, fondé au Xe siècle, est l'un des plus beaux d'Iran. Les édifices actuels datent des XVIe-XIXe siècles. Photographies : Patrick Ringgenberg.
Isolé dans une nature majestueuse au nord de l'Azerbaidjan oriental, ce monastère, fondé au Xe siècle, est l'un des plus beaux d'Iran. Les édifices actuels datent des XVIe-XIXe siècles. Photographies : Patrick Ringgenberg.
Isolé dans une nature majestueuse au nord de l'Azerbaidjan oriental, ce monastère, fondé au Xe siècle, est l'un des plus beaux d'Iran. Les édifices actuels datent des XVIe-XIXe siècles. Photographies : Patrick Ringgenberg.
Isolé dans une nature majestueuse au nord de l'Azerbaidjan oriental, ce monastère, fondé au Xe siècle, est l'un des plus beaux d'Iran. Les édifices actuels datent des XVIe-XIXe siècles. Photographies : Patrick Ringgenberg.
Isolé dans une nature majestueuse au nord de l'Azerbaidjan oriental, ce monastère, fondé au Xe siècle, est l'un des plus beaux d'Iran. Les édifices actuels datent des XVIe-XIXe siècles. Photographies : Patrick Ringgenberg.
Isolé dans une nature majestueuse au nord de l'Azerbaidjan oriental, ce monastère, fondé au Xe siècle, est l'un des plus beaux d'Iran. Les édifices actuels datent des XVIe-XIXe siècles. Photographies : Patrick Ringgenberg.
Isolé dans une nature majestueuse au nord de l'Azerbaidjan oriental, ce monastère, fondé au Xe siècle, est l'un des plus beaux d'Iran. Les édifices actuels datent des XVIe-XIXe siècles. Photographies : Patrick Ringgenberg.
Isolé dans une nature majestueuse au nord de l'Azerbaidjan oriental, ce monastère, fondé au Xe siècle, est l'un des plus beaux d'Iran. Les édifices actuels datent des XVIe-XIXe siècles. Photographies : Patrick Ringgenberg.
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Isolé dans une nature majestueuse au nord de l'Azerbaidjan oriental, ce monastère, fondé au Xe siècle, est l'un des plus beaux d'Iran. Les édifices actuels datent des XVIe-XIXe siècles. Photographies : Patrick Ringgenberg.
Isolé dans une nature majestueuse au nord de l'Azerbaidjan oriental, ce monastère, fondé au Xe siècle, est l'un des plus beaux d'Iran. Les édifices actuels datent des XVIe-XIXe siècles. Photographies : Patrick Ringgenberg.

Isolé dans une nature majestueuse au nord de l'Azerbaidjan oriental, ce monastère, fondé au Xe siècle, est l'un des plus beaux d'Iran. Les édifices actuels datent des XVIe-XIXe siècles. Photographies : Patrick Ringgenberg.

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Album - Qal'eh-ye Dokhtar, palais fortifié sassanide (IIIe siècle).

A 10 km de Firuzabad, l'impressionnante forteresse de Qal'eh-ye Dokhtar fut construite par Ardashir Ier (224-241). Photographies : Patrick Ringgenberg.
A 10 km de Firuzabad, l'impressionnante forteresse de Qal'eh-ye Dokhtar fut construite par Ardashir Ier (224-241). Photographies : Patrick Ringgenberg.
A 10 km de Firuzabad, l'impressionnante forteresse de Qal'eh-ye Dokhtar fut construite par Ardashir Ier (224-241). Photographies : Patrick Ringgenberg.
A 10 km de Firuzabad, l'impressionnante forteresse de Qal'eh-ye Dokhtar fut construite par Ardashir Ier (224-241). Photographies : Patrick Ringgenberg.
A 10 km de Firuzabad, l'impressionnante forteresse de Qal'eh-ye Dokhtar fut construite par Ardashir Ier (224-241). Photographies : Patrick Ringgenberg.
A 10 km de Firuzabad, l'impressionnante forteresse de Qal'eh-ye Dokhtar fut construite par Ardashir Ier (224-241). Photographies : Patrick Ringgenberg.
A 10 km de Firuzabad, l'impressionnante forteresse de Qal'eh-ye Dokhtar fut construite par Ardashir Ier (224-241). Photographies : Patrick Ringgenberg.
A 10 km de Firuzabad, l'impressionnante forteresse de Qal'eh-ye Dokhtar fut construite par Ardashir Ier (224-241). Photographies : Patrick Ringgenberg.

A 10 km de Firuzabad, l'impressionnante forteresse de Qal'eh-ye Dokhtar fut construite par Ardashir Ier (224-241). Photographies : Patrick Ringgenberg.

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Album - Argenterie sassanide

Production majeure de l'art sassanide (IIIe-VIIe siècle), l'argenterie dorée décline un riche décor de motifs royaux et sacrés. Photographies : Hermitage et British Museum (droits réservés), Patrick Ringgenberg (Louvre, musée Reza Abbasi).
Production majeure de l'art sassanide (IIIe-VIIe siècle), l'argenterie dorée décline un riche décor de motifs royaux et sacrés. Photographies : Hermitage et British Museum (droits réservés), Patrick Ringgenberg (Louvre, musée Reza Abbasi).
Production majeure de l'art sassanide (IIIe-VIIe siècle), l'argenterie dorée décline un riche décor de motifs royaux et sacrés. Photographies : Hermitage et British Museum (droits réservés), Patrick Ringgenberg (Louvre, musée Reza Abbasi).
Production majeure de l'art sassanide (IIIe-VIIe siècle), l'argenterie dorée décline un riche décor de motifs royaux et sacrés. Photographies : Hermitage et British Museum (droits réservés), Patrick Ringgenberg (Louvre, musée Reza Abbasi).
Production majeure de l'art sassanide (IIIe-VIIe siècle), l'argenterie dorée décline un riche décor de motifs royaux et sacrés. Photographies : Hermitage et British Museum (droits réservés), Patrick Ringgenberg (Louvre, musée Reza Abbasi).
Production majeure de l'art sassanide (IIIe-VIIe siècle), l'argenterie dorée décline un riche décor de motifs royaux et sacrés. Photographies : Hermitage et British Museum (droits réservés), Patrick Ringgenberg (Louvre, musée Reza Abbasi).
Production majeure de l'art sassanide (IIIe-VIIe siècle), l'argenterie dorée décline un riche décor de motifs royaux et sacrés. Photographies : Hermitage et British Museum (droits réservés), Patrick Ringgenberg (Louvre, musée Reza Abbasi).
Production majeure de l'art sassanide (IIIe-VIIe siècle), l'argenterie dorée décline un riche décor de motifs royaux et sacrés. Photographies : Hermitage et British Museum (droits réservés), Patrick Ringgenberg (Louvre, musée Reza Abbasi).
Production majeure de l'art sassanide (IIIe-VIIe siècle), l'argenterie dorée décline un riche décor de motifs royaux et sacrés. Photographies : Hermitage et British Museum (droits réservés), Patrick Ringgenberg (Louvre, musée Reza Abbasi).
Production majeure de l'art sassanide (IIIe-VIIe siècle), l'argenterie dorée décline un riche décor de motifs royaux et sacrés. Photographies : Hermitage et British Museum (droits réservés), Patrick Ringgenberg (Louvre, musée Reza Abbasi).
Production majeure de l'art sassanide (IIIe-VIIe siècle), l'argenterie dorée décline un riche décor de motifs royaux et sacrés. Photographies : Hermitage et British Museum (droits réservés), Patrick Ringgenberg (Louvre, musée Reza Abbasi).
Production majeure de l'art sassanide (IIIe-VIIe siècle), l'argenterie dorée décline un riche décor de motifs royaux et sacrés. Photographies : Hermitage et British Museum (droits réservés), Patrick Ringgenberg (Louvre, musée Reza Abbasi).
Production majeure de l'art sassanide (IIIe-VIIe siècle), l'argenterie dorée décline un riche décor de motifs royaux et sacrés. Photographies : Hermitage et British Museum (droits réservés), Patrick Ringgenberg (Louvre, musée Reza Abbasi).
Production majeure de l'art sassanide (IIIe-VIIe siècle), l'argenterie dorée décline un riche décor de motifs royaux et sacrés. Photographies : Hermitage et British Museum (droits réservés), Patrick Ringgenberg (Louvre, musée Reza Abbasi).
Production majeure de l'art sassanide (IIIe-VIIe siècle), l'argenterie dorée décline un riche décor de motifs royaux et sacrés. Photographies : Hermitage et British Museum (droits réservés), Patrick Ringgenberg (Louvre, musée Reza Abbasi).
Production majeure de l'art sassanide (IIIe-VIIe siècle), l'argenterie dorée décline un riche décor de motifs royaux et sacrés. Photographies : Hermitage et British Museum (droits réservés), Patrick Ringgenberg (Louvre, musée Reza Abbasi).

Production majeure de l'art sassanide (IIIe-VIIe siècle), l'argenterie dorée décline un riche décor de motifs royaux et sacrés. Photographies : Hermitage et British Museum (droits réservés), Patrick Ringgenberg (Louvre, musée Reza Abbasi).

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Album - Suse : le décor du palais de Darius 1er, vers 510 av. J.-C.

Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg
Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg
Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg
Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg
Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg
Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg
Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg
Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg
Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg
Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg
Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg
Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg
Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg
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Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg
Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg
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Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg
Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg

Les vestiges gris ou noircis de l'Antiquité font oublier que l'Iran ancien était un monde de couleurs vives, comme en témoignent les décors achéménides de briques émaillées de Suse, au Musée du Louvre. Photographies : Patrick Ringgenberg

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Album - Jardin Shahzadeh, Mahan, XIXe siècle

Construit sur une pente, paradis au milieu d'un paysage aride, ce jardin qâdjâr est l'un des plus beaux d'Iran. Photographies : Patrick Ringgenberg
Construit sur une pente, paradis au milieu d'un paysage aride, ce jardin qâdjâr est l'un des plus beaux d'Iran. Photographies : Patrick Ringgenberg
Construit sur une pente, paradis au milieu d'un paysage aride, ce jardin qâdjâr est l'un des plus beaux d'Iran. Photographies : Patrick Ringgenberg
Construit sur une pente, paradis au milieu d'un paysage aride, ce jardin qâdjâr est l'un des plus beaux d'Iran. Photographies : Patrick Ringgenberg
Construit sur une pente, paradis au milieu d'un paysage aride, ce jardin qâdjâr est l'un des plus beaux d'Iran. Photographies : Patrick Ringgenberg

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Album - Shahnameh de Shah Tahmasp : un Livre des rois illustré du XVIe siècle

L'un des manuscrits les plus splendides du Livre des rois de Ferdowsi est celui réalisé à Tabriz pour le roi safavide Shah Tahmasp dans les années 1520-1530. Source des images : Metropolitan Museum of Art, New York (tous droits réservés)
L'un des manuscrits les plus splendides du Livre des rois de Ferdowsi est celui réalisé à Tabriz pour le roi safavide Shah Tahmasp dans les années 1520-1530. Source des images : Metropolitan Museum of Art, New York (tous droits réservés)
L'un des manuscrits les plus splendides du Livre des rois de Ferdowsi est celui réalisé à Tabriz pour le roi safavide Shah Tahmasp dans les années 1520-1530. Source des images : Metropolitan Museum of Art, New York (tous droits réservés)
L'un des manuscrits les plus splendides du Livre des rois de Ferdowsi est celui réalisé à Tabriz pour le roi safavide Shah Tahmasp dans les années 1520-1530. Source des images : Metropolitan Museum of Art, New York (tous droits réservés)
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L'un des manuscrits les plus splendides du Livre des rois de Ferdowsi est celui réalisé à Tabriz pour le roi safavide Shah Tahmasp dans les années 1520-1530. Source des images : Metropolitan Museum of Art, New York (tous droits réservés)
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Album - Metropolitan Museum of Art : oeuvres iraniennes d'époque islamiques

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  • : Le blog du Guide culturel de l'Iran de Patrick Ringgenberg
  • : Articles, documents, images, liens et bibliographies sur la culture iranienne et informations autour et au-delà du Guide culturel de l'Iran de Patrick Ringgenberg
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Voyages en Iran

 


L'Iran des Religions : du zoroastrisme aux soufis

26 septembre au 15 octobre 2015

A la croisée des routes reliant le Proche et l’Extrême-Orient, l’Iran a accueilli plusieurs religions sur son sol : le mazdéisme, transformé par Zarathoustra, le manichéisme, dont les diverses influences ont atteint l’Occident et la Chine, le judaïsme, qui a conservé plusieurs souvenirs de l’histoire antique de la Perse, le mithriacisme ou culte de Mithra, qui devint la religion des légions romaines, le nestorianisme, et le christianisme arménien, qui a fait de l’Arménie le premier État chrétien. Dès l’époque musulmane, l’Iran est devenu la terre des soufis et d’une extraordinaire floraison de la philosophie platonicienne et mystique. Au XVIe siècle, le chiisme, proclamé religion officielle, fit de l’Iran un monde à part dans l’Islam. Ce voyage exceptionnel vous invite à visiter les principaux sites sacrés qui ont façonné l’Iran des religions, de la ziggurat des Élamites au sanctuaire de l’Imam Rezâ à Mashhad, en passant par les présences subtiles du soufisme et les feux pérennes des zoroastriens.

TEHERAN – SUSE – CHOGHA ZANBIL – SHIRAZ – PERSEPOLIS – YAZD – ISPAHAN – KASHAN – TABRIZ – DJOLFA – MASHHAD  - BASTAM – DAMGHAN – QOM  (17 jours)

 

Voyage accompagné par Patrick Ringgenberg

 

Renseignements / inscriptions : Rediscoveriran.com

 

 


L’Iran du nord-ouest : à la croisée des cultures et des civilisations

30 mai au 14 juin 2015

Moins connu que l’Iran du centre, l’Iran occidental est pourtant d’une grande richesse et diversité : églises arméniennes, vestiges antiques (ourartéens, sassanides), forteresses imprenables, témoignages précieux et spectaculaires des Mongols et des Turcomans. Ce voyage permet de découvrir des jalons historiques majeurs dans cette zone de partage entre plusieurs cultures (arménienne, turque, persane), au long d’un itinéraire allant des magnifiques paysages d’Azerbaïdjan à Téhéran.  

TABRIZ – ORUMIYEH – MAKU – MARAGHEH – TAKHT-E SULEYMAN – ARDABIL – ZANDJAN   –SOLTANIYEH – QAZVIN – ALAMUT – TÉHÉRAN  (16 JOURS)


Voyage accompagné par Patrick Ringgenberg

 

Renseignements / inscriptions : Rediscoveriran.com

 

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